Thinking about the future requires examining the present and the unfolding movements that foretell the shape of the future. By presenting a few French-speaking authors, in their attempt to discern the issues experienced by the Church since the Second Vatican Council, the article highlights the importance of meeting and listening to the “other”. Many authors criticize the official Church that listened little and demanded much. The contemporary crisis of Christianity can be understood as a crisis of human relations in society and in the Church. This is how authors like François Roustang, Georges Morel, Maurice Bellet, Stanislas Breton, and a few others see it.
Pour penser l’avenir, il convient d’examiner le présent, les mouvements qui s’y dessinent et qui laissent prévoir la formation du futur. En présentant quelques auteurs francophones qui ont tenté de discerner les enjeux vécus par l’Église depuis le concile Vatican II, l’article met en évidence l’importance de la rencontre de l’“autre” et de son écoute. Beaucoup d’auteurs critiquent en effet l’Église officielle qui écoutait peu et imposait beaucoup. La crise que connaît le christianisme contemporain peut être lue de cette manière, une crise des relations humaines en société, en Église. C’est ce que firent des auteurs comme François Roustang, Georges Morel, Maurice Bellet, Stanislas Breton, et quelques autres.